CE QUE MEDECIN N'AVAIT PAS FAIT NI SON SUCCESSEUR PROCHE DU FN... ESTROSI LE FAIT !
J'ai reçu ce message anonyme de quelqu'un qui n'a pas signé et dont on ne connaît pas le nom... Mais si ce qu'il dit que nos camarades conseillers généraux disent est vrai, alors c'est grave et il faut crier contre l'injustice et l'inacceptable: il faut former une chaîne de solidarité.
NOSE DE CHAMPAGNE
Avis d’expulsion de la C.G.T à la Bourse du Travail : L’histoire du mouvement ouvrier dans les Alpes-maritimes sous la menace Nous apprenons qu’un avis d’expulsion vient d’être notifié le 29 juillet, à la C.G.T. pour les locaux de la Place St François, qu’elle occupe depuis plus d’un siècle. C’est donc une émotion légitime qui s’exprime de toutes parts et bien au-delà des seuls syndiqués, face à la menace de voir le mouvement syndical, par le biais de la première centrale syndicale de France, expulsé de locaux qui sont un témoignage de toute l’histoire du mouvement ouvrier dans notre département. D’autant plus que c’est la C.G.T. elle-même, qui réclame depuis de nombreuses années que soient effectués les travaux indispensables à la sécurisation de cet édifice historique et que ce sont les successives municipalités de droite qui ont fait la sourde oreille à ces revendications. Si donc le principe de la nécessité de réaliser des travaux de réfection et de mise en sécurité n’a jamais été contesté par la C.G.T., il serait d’autant moins admissible de profiter de ce prétexte pour tenter d’évacuer le mouvement syndical du cœur de la vieille ville, encore plus en pleine période de congés d’été. C’est pourquoi nous exigeons avec force que le processus de mise en œuvre de ces travaux soit défini en concertation avec la centrale syndicale occupant les locaux actuellement, de façon à ce qu’elle puisse poursuivre ses activités au service des salariés de manière satisfaisante, et que lui soit donnée la garantie qu’elle gardera, une fois les travaux réalisés, la jouissance des locaux en question. Nous ne saurions accepter qu’une collectivité territoriale se comporte comme certains bailleurs dénoncés par ailleurs qui laissent se délabrer des immeubles afin de pouvoir en expulser les occupants. Nous resterons donc vigilants et mobilisés, car toute autre démarche constituerait une agression envers le mouvement syndical dans son ensemble et illustrerait une conception brutale d’une concertation sociale déjà bien mal en point dans notre pays. Personne ne comprendrait qu’un tel forfait, que même Jacques PEYRAT n’a pu accomplir, Christian ESTROSI le commette ! Conseillers Généraux communistes des Alpes-Maritimes