DE QUI SE MOQUE T'ON.....
COUP DE GUEULE COUP DE COLERE......
Je suis pour ma part sur le cul de cette decision :"il est urgent d'attendre " ....
Journée d'action le 19 mars et pourquoi pas en 2012 ......
Je suis à l'heure actuelle loin de mes bases ... (dans l'allier ) mais cela ne correspond aucunement avec ce que j'ai put entendre, de l'état d'esprit de syndiqués et de syndicats CGT avec lesquel j'ai eut langue avant mon départ ...Et meme des discussions que j'ai ici pourtant dans un milieu peut politisé et non syndiqué ...
De plus c'est vrai qu 'il ne se passe rien en Guadeloupe en Martinique et dans les universités ....
J'aurais pour ma part compris une déclaration disant que les conf se retrouvaient le 19 Février pour prendre les dispositions nécessaires et organiser une riposte de haut niveau aprés la rencontre avec le nain ;
La je ne comprend pas, je ne suis pas syndiqué depuis plus de 4 décennies pour voir MA CGT se coucher au dictat de chéreque (voir son interview ds libé de ce matin)
Dés que j'ai 5 mn je fais une lettre a la conf pour donner mon point de vu ....
Je me refuse à une CGT qui se couche aux injonctions de Chéreque ....
Je ferais donc entendre ma voix pour que le syndicalisme de classe de lutte et démocratique soit le choix de la CGT et non un xieme syndicalisme de compromission et d'accompagnement du K ....
Je ne me bat pas depuis plus de 40 ans pour cela ....
Christian Forgeot
Nouvelle journée d'action syndicale en France le 19 mars
09.02.09 | 21h18
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ar Clément Dossin
PARIS (Reuters) - Affichant leur unité, huit confédérations syndicales françaises ont décidé lundi d'organiser une nouvelle journée d'action commune le 19 mars afin de demander des mesures sociales face à la crise.
La journée se situera après les congés scolaires, afin de permettre une mobilisation maximale, ont-ils dit.
Les organisations syndicales entendent ainsi selon leurs termes "maintenir la pression" sur le gouvernement tout en laissant une porte ouverte à la discussion.
Les syndicats ont en effet précisé qu'ils se réuniraient au préalable le 23 février pour évaluer les résultats de la rencontre prévue avec Nicolas Sarkozy le 18 février et préciser ainsi le contenu et l'ampleur de la journée d'action.
"Les organisations syndicales attendent de la réunion du 18 février que le gouvernement apporte des réponses concrètes et engage les discussions nécessaires à l'ensemble des revendications", soulignent-ils dans un communiqué commun lu par Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU, principal syndicat enseignant, après trois heures de réunion.
La réunion du 23 février aura pour but d"'évaluer les résultats de la réunion du 18 février et (de) préciser le sens, le contenu et les modalités de la journée du 19 mars", précisent-ils.
Selon Gérard Aschieri, l'évaluation du 23 février pourrait "conduire à une possible remise en cause de cette date", mais cette hypothèse n'est pas la plus probable selon les syndicats.
De source syndicale, cette formulation est le fruit d'un compromis entre deux lignes, les plus radicaux souhaitant décider d'une date en mars quoi qu'il arrive, les autres préférant attendre la réunion du 18 février avant de la fixer.
Les syndicats CFDT, CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, Unsa ont fait part de leurs doutes sur l'intervention radio-télévisée du président de la République jeudi.
"Malgré un changement de ton, le président de la République maintient pour l'essentiel ses orientations en matière de politique économique et sociale", estiment-elles.
L'unité syndicale avait permis de faire de la mobilisation du 29 janvier un succès avec un à 2,5 millions de manifestants qui ont défilé dans les rues de France selon les sources.
Jeudi dernier, le chef de l'Etat avait convié les partenaires sociaux le 18 février à l'Elysée pour discuter d'une série de propositions.
NÉGOCIATIONS SUR PLUSIEURS SUJETS ?
Nicolas Sarkozy a proposé des négociations sur trois sujets : une meilleure indemnisation du chômage partiel et pour les fins de contrats à durée déterminée ainsi que l'amélioration de la couverture chômage des jeunes.
Pour les classes moyennes, il s'est dit ouvert à la suppression de l'impôt sur le revenu pour les contribuables les moins riches, à une augmentation des allocations familiales et à l'octroi de chèques emploi service pour les personnes âgées ou les femmes seules qui travaillent.
Il a par ailleurs proposé de rediscuter du partage des profits des entreprises selon la règle des trois tiers, un tiers pour les salariés, un tiers pour les actionnaires et un tiers pour les entreprises.
Les syndicats avaient fait part de leur "déception" au lendemain de l'intervention du chef de l'Etat.
"Nous espérons que l'unité syndicale et l'annonce de cette mobilisation permettront de mieux nous faire entendre aussi bien du gouvernement que du patronat qui continue à licencier", a dit aux journalistes après la réunion Maryse Dumas (CGT).
Son homologue de la CFDT, François Chérèque, a jugé pour sa part dans la matinée qu'il n'y avait "rien de très précis" dans ce qu'a annoncé le chef de l'Etat.
"Le programme d'investissements publics ou les mesures sur le chômage partiel sont utiles. Mais tout cela est trop morcelé", déclare-t-il dans un entretien à Libération.
Pour préparer la rencontre du 18 février, les organisations ont rendez-vous cette semaine avec la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, le ministre du Travail, Brice Hortefeux, et le secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi, Laurent Wauquiez.
avec Gérard Bon, édité par Yves Clarisse