RELATIVITES SUR LA THEORIE DE LA RELATIVITE
L’expérience récente (« Opéra ») effectuée par le CERN entre Genève (Suisse) et Gran Sasso (Italie) sur une distance de 730 kilomètres interpelle semble-t-il la communauté scientifique (physiciens) internationale.
Au cours d’une observation organisée sur le déplacement d’un faisceau de neutrinos, sur la distance indiquée, on a constaté l’arrivée des neutrinos avec 20 mètres d’avance par rapport à la distance qu’ils étaient supposés avoir parcourue s’ils avaient « respecté » la vitesse de la lumière (fixée depuis 1983 à 299 792,458 km/sec).
Diable, diable, voilà-t-il de quoi jeter l’émoi sur le monde scientifique ?
Selon un rapide calcul, 20 m sur 730 000 m = 1/36 500 = 0,002 739% par « excès ».
Appliqué à la vitesse de la lumière, cela donne : 299 792,458 X 0,002 739 = 8,211 315 km/sec de plus, soit une vitesse des neutrinos établie à 299 800,669 km/sec.
Peut-être quelqu’un nous expliquera-t-il en quoi la théorie de la relativité pourrait être remise en cause par le constat d’une « différence » aussi infime. Tout juste y a-t-il pour un profane de quoi déduire une certaine relativité de la relativité ! Pas de quoi faire retourner dans sa tombe le génial Bébert Einstein ! Evidemment, cette petite « provocation » mérite une réponse argumentée et recevable par le dit profane.
Propos de Marcel LE CHAT, recueillis par NOSE DE CHAMPAGNE.