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LE PIGEON BLEU
27 novembre 2011

Pourquoi le verrou russe ne sautera pas

 

Par Louis Denghien, le 18 novembre 2011 

Defense-russeRecalés à plusieurs reprises devant le Conseil de sécurité par la Russie et les 4 nations du BRICS – Brésil/Inde/Chine/Afrique du Sud – les Euro-américains vont à présent essayer de faire condamner la Syrie par l’Assemblée générale de l’ONU. Mardi 22 novembre, la troïka – ou le trio infernal atlantiste, c’est selon – France/Grande-Bretagne/Allemagne devraient soumettre un texte devant le Comité des droits de l’homme de l’Assemblée générale, avec le soutien « des » pays arabes. Si un tel texte était adopté par la majorité des membres de l’A.G., la coalition anti-syrienne « réattaquerait » le Conseil de sécurité, espérant avoir cette fois de bonnes chances de faire basculer les BRICS et surtout la Russie.

Nous verrons. Mais nous ne croyons pas, sur la foi des déclarations répétées du chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov (voir notamment notre article « Catherine Ashton remise à niveau par Sergueï Lavrov », mis en ligne le 18 novembre), que la Russie se laissera dicter sa conduite vis-à-vis de la Syrie : le précédent libyen est là, et il ne témoigne guère en faveur de l’honnêteté et de l’humanisme des Occidentaux. Et les Russes n’ignorent rien des réalités que les Occidentaux feignent d’ignorer, nient ou relativisent : la violence, ancienne et croissante, des groupes armés, que l’armée syrienne ne peut laisser commettre leurs exactions sans réagir, le soutien d’une majorité de Syriens à leur gouvernement, ne serait-ce que par refus du chaos ou de la théocratie à la séoudienne. Et, « accessoirement », les conséquences catastrophiques, pour toute la région, d’une déstabilisation du pays.

La Syrie enjeu d’un « Grand jeu » géostratégique

Force est de constater d’ailleurs qu’à la pression sur le gouvernement syrien – l’Union européenne vient à son tour de réclamer le « départ » de Bachar al-Assad – s’est ajoutée une pression, guère moins forte, sur les alliés de la Syrie, du moins ceux siégeant au Conseil de sécurité, au premier rang desquels la Russie. Aujourd’hui, le tandem Medvedev-Poutine est, presqu’au même titre que Bachar, dans le collimateur des atlantistes. Ces deux hommes d’Etat ne nous paraissent pas du genre à se laisser marcher sur les pieds ou dicter leur conduite. Voila pour la dimension  humaine du problème. Mais quid des rapports de force géostratégiques ? Est-ce que Moscou pourrait considérer que le jeu syrien ne vaut pas la chandelle, autrement dit que soutenir Bachar apporterait plus d’ennuis, de marginalisation diplomatique, que d’avantages ?

Pour nous, là encore, il n’y a pas photo : sans même parler des intérêts militaires ou économiques liant Moscou à Damas, les Russes ne toléreront plus les tentatives d’encerclement de leur pays par les Américains et l’OTAN. La direction russe n’a évidemment pas oublié les intrigues ou les ingérences évidentes de la Maison Blanche en Ukraine, en Géorgie et dans les républiques musulmanes ex-soviétiques – où les Américains ont « pondu » des bases militaires, plus ou moins durables. Poutine a du reste largement contré ces manœuvres, aujourd’hui. Mais le « pré carré » traditionnel russe n’est pas seul en cause : les Américains et leurs alliés ont, on sait dans quelles conditions, poussé leurs pions en Irak et en Afghanistan, ils continuent aujourd’hui de menacer l’Iran et la Syrie. Bref, c’est plus que jamais la « guerre des dominos » entre Moscou et Washington. Alors, oui, les Russes n’ont absolument pas intérêt à ce que la Syrie bascule. Il y a vraiment une nouvelle guerre froide qui traverse le globe, et qui implique aussi la Chine, dont tout indique qu’elle sera un des rivaux majeurs des Etats-Unis dans les décennies à venir. Et Pékin, certes étroitement et massivement lié à l’économie américaine, est parfaitement au fait des enjeux géostratégiques au cœur desquels se retrouve la Syrie.

Au fond, la seule chose qui pourrait changer cet équilibre serait une insurrection massive, ou suffisamment importante d’une partie du peuple syrien contre son gouvernement, avec une alternative politique crédible. Or rien de tout ça n’existe – sauf bien sûr dans les communiqués du CNS et de l’OSDH et les délires lyriques des face-bookeux « démocrates »…

 

Sur INFOSYRIE/CANALBLOG, relayé par NOSE DE CHAMPAGNE

 

 

 

 

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Commentaires
N
[G]Ce ne serait pas seulement le vaincu qui « paierait un prix cher » pour la guerre[/G]<br /> <br /> Les Etats-Unis et leurs alliés de l'OTAN tentent se servir du « modèle libyen » pour mener une intervention militaire contre la Syrie et cette possibilité est en train de s'accroître. Les Américains et les Français menacent ouvertement d'utiliser la force armée et certains reportages rapportent même qu'un porte-avions américain se dirige vers les côtes syriennes.<br /> <br /> [G]Comment la situation va-t-elle évoluer[/G], on ne le sait pas encore, mais ce qui est sûr c'est qu'elle décidera non seulement du sort du pouvoir actuel de la Syrie, de la stabilité de la situation de la région, de la position arabe dans le monde, et surtout qu'elle sera étroitement liée à l'intérêt d'ensemble de la communauté internationale. La raison en est toute évidente. Lorsque la guerre éclate de façon successive, il semble alors qu'il se passe certainement quelque chose de grave et d'anormale dans notre monde d'aujourd'hui et l'ONU, qui souhaite que « les générations futures ne connaissent plus jamais les désastres des deux guerres mondiales qui ont ravagé tellement notre monde durant le siècle passé », doit faire face à un nouveau défi, tandis que le déséquilibre du système des relations internationales continuera à s'intensifier et s'aggraver.<br /> <br /> [G]En se rappelant les reportages[/G] qui ont été faits lors du déroulement des deux autres guerres (celle de l'Irak et celle de l'Afghanistan) qui ont éclaté dans le cours de la première décennie de notre siècle, il ne serait pas difficile de constater du fait suivant : lorsque les Etats-Unis et leurs alliés de l'OTAN on lancé leurs attaques aériennes contre la Libye, ils n'ont pas essuyé tellement de pression ni sur le plan diplomatique ni sur le plan moral, alors qu'à l'intérieur des pays occidentaux, il n'y a presque pas eu de contestations sur la légitimité d'une guerre lancée contre un pays souverain. Dans le cadre mondial, il n'y a pas eu également de manifestation anti-guerre de grande envergure. Alors, qu'est-ce qui s'est passé dans le monde ? Serait-il que les actions déréglées et détraquées commises par le leader libyen Kadhafi auraient suscité l'indignation générale et en seraient la cause ? Ou bien serait ce la gravité de la situation économique qui fait que les gens n'ont plus de temps à songer à autre chose ? Ou bien serait-il plutôt les scènes sanglantes des guerres en Afghanistan et en Irak qui ont paralysé le sens de l'individu et qui le rend indifférent et insensible ? <br /> <br /> [G]Ce n’est peut-être que des années plus tard[/G] que l'on constatera plus clairement ce qui se passe maintenant dans notre monde et surtout quelle est la raison pour laquelle le « coût » diminue pour celui qui déclenche la guerre.<br /> L'attitude grandiloquente des Américains et des Français qui interviennent dans la situation en Syrie est de toute évidence stimulée et excitée par le succès de la victoire gagnée en Libye. «Lorsqu'on tient un marteau dans la main, on voit le clou partout » et cette maxime populaire occidentale est la meilleure explication de l'attitude de certains qui pensent se lancer le plus tôt possible dans une guerre contre la Syrie.<br /> Cette dernière a toujours été considérée comme le « cœur qui bat » du monde arabe, car sa position géopolitique est effectivement très sensible : tout d'abord c'est parce que la Syrie est voisine d'Israël et qu'à cause des problèmes qui existent entre les deux pays, dont celui du Golan, les deux Etats sont jusqu'à présent dans une situation d'hostilité ; laquelle fait qu'une fois acculée dans l'impasse, il sera tout à fait possible que la Syrie se lance à corps perdu dans une lutte sans merci contre son ennemi, ce qui perturbera profondément la situation au Moyen-Orient. Pour ce qui est des dirigeants syriens, ils ont déclaré que dans le cas où l'Occident utilise la force armée pour intervenir dans les affaires intérieures de la Syrie, celle-ci lancera alors une attaque contre Israël, ce qui accentue la possibilité d'une guerre entre les Israéliens et les Arabes.<br /> <br /> [G]D'autre part, la Syrie est pour l'Iran[/G] son plus important allié dans le monde arabe. Certains analystes américains pensent ouvertement que l'attaque lancée contre la Syrie vise en fait à faire disparaître un des plus importants obstacles à la guerre contre l'Iran. Par conséquent, il n'est pas exclu que ce dernier s'ingère dans la situation en utilisant certains moyens pour atteindre son but, ce qui sera un défi lancé contre les Américains qui devraient alors lancer deux attaques à la fois l'une contre la Syrie et l'autre contre l'Iran, ce qui diviserait alors leur force.<br /> <br /> [G]L'écologie politique est extrêmement complexe[/G] au Moyen-Orient, du fait qu'elle est constituée d'une zone marécageuse de grande envergure dont l'importance saute aux yeux, mais qui comporte en réalité toutes sortes d'abîmes et de dangers, qui font que l'on peut s'y enfoncer et s'y enliser si l'on n'y prend pas des précautions. Le passé a fourni beaucoup d'exemples, quant à cela, et les preuves démontrent que la région du Moyen-Orient constitue un piège dans lequel les puissances consomment et dépensent toute leur force sans pouvoir atteindre leur but. La région est également une zone qui pourrait facilement bouleverser la situation mondiale. La guerre ou bien la paix, l'une ou l'autre, concerne étroitement le sort et l'avenir du mode d'existence du genre humain et il n'y a plus d'espace pour que les deux puissent s'adapter et se convenir. Il faut faire le choix entre les deux. Même en cas d'hostilités locales qui mènent à une guerre partielle, ce ne serait pas seulement le vaincu qui « paierait un prix fort », car le choc brutal qu'elle apporterait à la structure mondiale ne pourrait être considérée à la légère et de façon négligente.<br /> <br /> [G]La solution du problème de la Syrie[/G] est jusqu'à maintenant du ressort de la Ligue Arabe et elle doit être envisagée de façon sérieuse et insistante. La mise à l'écart d'une intervention militaire extérieure répond à l'intérêt de la Syrie, à l'intérêt de tous les pays arabes, de même qu'à l'intérêt d'ensemble de la communauté internationale.<br /> <br /> Source: [G]le Quotidien du Peuple[/G] en ligne
N
... Couché à 2H, j'étais levé à 9H. À 9H30 j'ai annoncé à Chantal que le petit déj était prêt, etc.<br /> <br /> Ce matin, je suis allé déposer les listes CGT "1er et 2ème collège" pour les élections à la DUP de l'AAPA et j'ai traité le courrier de l'UL concernant notamment les élections à venir chez BRICOMARCHE et chez France-Route (Transport Routier Marchandise)... <br /> <br /> Cet après-midi je suis sur 2 dossiers CPH !<br /> <br /> Bonne journée,<br /> <br /> NOSE
C
non mais tu as vu l'heure de ton post , 00h22 , c'est pas serieux , le matin tu ne te leves pas avant 11h , et l'apres midi , tu dois faire une sieste de deux heures , et pendant tout ce temps , maman se tape tout le boulot !!!!!![houuuuu][houuuuu][mdr][mdr][mdr][mdr]
N
Chers camarades des partis communistes et ouvriers du monde entier,<br /> <br /> Des événements terribles continuent de se dérouler en Syrie depuis près de deux mois, à partir de l'émergence d'un mouvement de protestation soulevant de légitimes revendications locales et générales parmi la population du gouvernorat de Daraa. Ce mouvement a fait la lumière sur la présence de problèmes majeurs dans la vie politique Syrienne : le maintien de l'état d'urgence, l'absence de lois régissant l'activité politique, et ainsi de suite. En outre, il a attiré l'attention sur la colère populaire à propos de la dégradation des conditions ainsi que du niveau de vie des Syriens à la suite du virage de la Syrie vers une économie de marché – la diminution des aides d'Etat pour les pauvres, l'érosion des subventions pour les produits de première nécessité et la production agricole, et l'ouverture au libre-échange qui ne s'est pas accompagnée d'une modernisation de l'industrie Syrienne – qui a abouti à une hausse du taux de chômage, en particulier chez les jeunes. Cela a également mené à l'adoption de trois décrets : la fin de l'état d'urgence, la dissolution de la Haute cour de sûreté de l’État, et la légalisation des manifestations pacifiques. Des commissions spéciales ont également été mises sur pied et chargées de rédiger des lois entre autres sur les élections, les partis, les médias. D'autres lois traitant des questions économiques et sociales sont également en cours d'élaboration.<br /> <br /> Néanmoins, les manifestations se sont répandues à d'autres villes, en raison de la réaction sécuritaire disproportionnée des autorités dans leur façon de traiter les manifestants dans les rues, ce qui a causé un certain nombre de victimes. A peine ce mouvement avait-il vu le jour qu'une formidable campagne médiatique de masse avait été lancée par plusieurs chaînes satellite Arabes et étrangères, profitant des dernières technologies. Cette campagne a eu recours à la falsification, à l'exagération et à l'incitation. A noter dans cette campagne, l'intérêt Américain, prétendant faussement avoir de la sympathie pour les citoyens Syriens, comme si nous étions supposés oublier la mort, la destruction, et les conflits ethniques et communautaires provoqués par les administrations américaines successives dans diverses régions du monde, en particulier en Irak.<br /> <br /> La Syrie a joué un rôle clé en déjouant les plans des États-Unis au Proche-orient visant à redessiner la région dans les intérêts des peuples Arabes, à porter un coup à la résistance Palestinienne, et à servir l'expansionnisme d’Israël, violant le droit du peuple Palestinien au retour, son droit à l'auto-détermination, son droit à un État palestinien ayant Jérusalem-Est comme capitale, et le droit de la Syrie à récupérer les territoires Syriens occupés. Voilà pourquoi notre parti soutient la fermeté de la Syrie contre de tels projets, et voilà pourquoi la position nationale de la Syrie a bénéficié du soutien des peuples Arabes, du mouvement communiste international et des mouvements de libération nationale dans le monde.<br /> <br /> Comme nous le savons tous, la politique nationale de la Syrie a été plus forte que les intrigues étrangères, aussi imposantes puissent-elles être. Mais nous avons toujours mis en garde contre le fait qu'un complot pouvait naître de l'intérieur, et nous avons insisté sur le fait que la politique étrangère de résistance de la Syrie devait s'accompagner de sa contre-partie sur le plan de sa politique intérieure, et que le négliger serait ouvrir la voie aux grandes puissances résolues à la domination du monde qui manipuleraient la situation intérieure du pays en s'y immisçant, tentant de faire dérailler le cours des événements afin qu'ils servent leurs intérêts.<br /> <br /> Notre parti a dit publiquement, depuis le tout début, que les manifestations ont été initialement lancées par les masses dont les orientations politiques s'inscrivent en opposition avec le colonialisme et toute forme d'ingérence étrangère dans les affaires Syriennes. Le peuple a le droit de protester contre les injustices commises par les responsables administratifs et les forces de sécurités locales dans les gouvernorats, et contre les injustices subies par de vastes couches de la société Syrienne. Notre parti a demandé entre autres à ce que la violence cesse, que les revendications légitimes des masses soient entendues, que l'on traite sans violence les manifestations pacifiques. Dans le même temps, nous avons mis en garde contre les tentatives d'exploitation des manifestations populaires, d'exacerbation des tensions communautaires et de destruction de l'unité nationale du peuple Syrien avec comme objectif de répandre le chaos, par des conspirateurs financés et incités par des forces étrangères opposées à la politique nationale de la Syrie. Ainsi, à plusieurs reprises, nous avons exhorté le gouvernement à promulguer des lois de réforme et à les mettre en œuvre aussi vite que possible. Nous avons indiqué clairement que de telles mesures nécessitent la restauration du calme et d'une vie normale dans les villes Syriennes, ce qui en échange exige la fin de la spirale de la violence, des arrestations et des représailles, de la part de toutes les parties.<br /> <br /> Mais le cours des événements a changé récemment. Des bandes armées visant les forces de l'armée et de la police, mettant à sac les propriétés privées et publiques, ont fait jour, faisant de nombreuses victimes, à la fois parmi les civils et les membres des forces de sécurité. Plusieurs villes du pays sont désormais paralysées. L'attitude agressive de ces bandes armées a éclipsé le mouvement de protestation pacifique. Les médias Syriens ont diffusé des vidéos montrant des groupes fondamentalistes terroristes qui admettaient avoir reçu de l'argent et des armes de la part de l'étranger pour lancer des attaques contre le personnel de sécurité ainsi que leurs familles.<br /> <br /> Le Parti communiste syrien a publié une déclaration – qui a remporté une large adhésion parmi les forces nationales – exigeant la tenue d'une conférence nationale réunissant tous les partis politiques, y compris l'opposition nationale à l'intérieur du territoire Syrien, des représentants des syndicats et des associations professionnelles, des leaders intellectuels, culturels, économiques et religieux, pour le dialogue et la réconciliation. La mission de la conférence nationale est de parvenir à un consensus sur un programme nationale pour mettre le pays sur la voie d'une réforme d'ensemble politique, économique et sociale qui contribuerait à créer une nouvelle Syrie démocratique, un État de droit qui garantisse les libertés publiques pour tous les citoyens et toutes les composantes de la société civile telles que les partis politiques, les syndicats et les associations civils, un État qui reconnaisse le pluralisme politique et les libertés de réunion et d'expression, un État où la vie publique serait libre de toute censure, un État qui permette aux citoyens d'exprimer leurs besoins et leurs aspirations politiques, économiques et sociales dans un cadre communément admis d'une compétition pacifique, un État dans les institutions duquel tous les citoyens participent au progrès de la Syrie, un État qui promeuve la dignité de son peuple, réalisant un développement social et économique harmonieux, défendant les intérêts de toutes les couches sociales, mettant les pauvres avant les riches, renforçant la fermeté de notre pays face aux projets de capitulation, et renforçant la lutte pour libérer le Golan.<br /> <br /> Notre parti a dit que les Syriens étaient conscients des insuffisances de notre situation interne. Ils peuvent également faire la distinction entre ceux qui demandent des réformes politiques et le développement économique et social afin de renforcer le front intérieur et ceux qui tentent de tirer profit de la situation pour attiser des conflits qui ne servent que les ennemis de la Syrie.<br /> <br /> Il est devenu assez clair que les interventions impérialistes dans les affaires internes de la Syrie sous le prétexte de la « démocratie », menées par les gouvernements Français et Américains, en chœur avec les gouvernements Britanniques et Allemands, se trouvent derrière la campagne médiatique de masse contre la Syrie, la campagne employant un certain nombre de dissidents Syriens en exil qui se sont associés au projet Américano-Israélien dans la région.<br /> <br /> Notre peuple prend les menaces pesant sur notre pays très au sérieux et se rassemble pour y faire face. Les intrigues étrangères ne réussiront pas à changer la politique nationale de notre pays : l'opposition de la Syrie au projet Américano-Israélien ; la lutte de la Syrie pour libérer le Golan ; le soutien de la Syrie à la lutte du peuple Palestinien pour libérer leur terre, pour créer un Etat palestinien ayant Jérusalem-Est comme capital, ainsi que les luttes pour libérer l'Irak de l'occupation Américaine et le Sud-Liban de l'occupation Israélienne.<br /> <br /> Nous apprécions beaucoup les positions fermes et positives de la Russie ainsi que de la Chine exposant les dangers pesant sur la Syrie et apportant un soutien total à la Syrie dans cette crise.<br /> <br /> Désormais, notre pays travaille avec d'autres partis Syriens, avec les forces d'opposition nationales, et divers courants de la société civile afin de mettre en place notre proposition d'une conférence pour le dialogue national.<br /> <br /> Avec nos meilleurs vœux fraternels,<br /> <br /> [G]Hunein Nemer[/G], Premier secrétaire du Parti communiste syrien<br /> <br /> Traduit par AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/.<br /> <br /> Source : http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/article-le-parti-communiste-syrien-soutient-les-revendications-legitimes-du-peuple-syrien-pour-une-democrati-76911721.html
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